Interview de Lionel Barneoud, président de Green&Safe additifs, dans Le Point 

Quand le magazine Le Point parle de nous...

 

Notre président, Lionel Barneoud, a été interviewé par Agnès de Tyssandier du magazine Le Point.

Nos additifs permettent de réduire la consommation de carburant et les émissions polluantes nocives pour la nature et pour l’Homme. Merci à toute l’équipe pour la mise en lumière, merci de relayer l'information : pourquoi attendre pour agir ? 

La vidéo de l'entretien entre Lionel Barneoud et Agnès de Tyssandier

Retranscription de la vidéo de l'entretien

Le Point : Bonjour Lionel.

Lionel : Bonjour Agnès. 

Le Point: Les prévisions annoncent que le marché des additifs de carburant va connaître un taux de croissance annuel de 4,88% pour la période 2022 à 2029. Quid de la qualité de ses additifs ? Comment Green & Safe tire son épingle du jeu de par sa performance et son côté écologique ?

Lionel : Cela fait déjà 10 ans effectivement que nous fabriquons des additifs exempt de pétrole testés par l'UTAC à plusieurs reprises dans le cas des abaissements des émissions polluantes et aussi des consommations d'énergie. 

Le Point : Qu'allons-nous aborder comme sujet aujourd'hui ?

Lionel : Nous allons aborder, les tests qui ont été réalisés par des gros consommateurs avec des protocoles non opposables, aussi bien réalisés par des concessionnaires que par l'UTAC qui est le seul organisme technique reconnu par l'état français.

Le Point : Et c'est parti pour creuser le sujet des additifs et de l'écologie. Lionel parler d'écologie quand on parle additif pour carburant c'est un peu comme parler végétarisme avec des crocs. 

Lionel : C'est un peu ça oui. Ça fait effectivement 10 ans maintenant que nous fabriquons des additifs exempt de pétrole pour amener quelque chose de plus vertueux. Pour cela, effectivement, nous avons répondu par deux fois favorablement à une fiche qui s'appelle la fiche TRA EQ119. C'est un protocole de test qui a été dicté par l'ADN à l'UTAC, qui est un organisme technique reconnu par l'état français et qui a mis en place un protocole sur 15 000 km. Donc ce sont vraiment des tests de longue durée. Et pour la deuxième fois nous avons été reçus favorablement par rapport à cette fiche qui est aussi une fiche de certificat d'économie d'énergie (C2E). Les transporteurs de marchandise, les autocaristes et les conducteurs de travaux publics qui ont des poids lourds et qui utilisent notre produit ont donc le droit à des primes parce qu'il a répondu favorablement à ce test. Ce ne sont pas des matériels très énergivores mais l'additif est capable de faire mieux sur des matériels plus énergivores et de taux de charges moteur plus élevés. C'est un traitement qui est assez complet et qui effectivement, par rapport à ce qui a sur le marché, n'augmente pas d'autres émissions polluantes et ne crée pas d'autres désordres. Niveau budget et retour sur investissement, on est plutôt pas mal. Généralement le retour sur investissement est de 1 euro investi pour plus de 5 récupérés.

Le Point : Et puis c'est une reconnaissance parce qu'on peut rappeler que l'ADEME oeuvre pour la transition écologique. 

Lionel : Tout à fait les transporteurs qui utilisent notre produit sont aidés par notre produit. Si vous voulez, dans leurs obligations, ils ont un bilan carbone à la fin de chaque année à rendre, et notre produit est éligible dans ce sens et en plus bénéficie d'une prime qui va de 2000 à 2500 euros en fonction des années par mètre cube d'additifs achetés. C'est le pôle national des C2E qui instruit les dossiers et les gens récupèrent cet argent comme ça pour les inciter à oeuvrer pour l'environnement.

Le Point : Et alors est-ce que vous avez envie de vous étendre, peut-être à l'international, du moins à l'Européen pour le moment où vous êtes uniquement en France pour l'instant ?

Lionel : Non, on a une antenne en Suisse depuis un an et demi parce qu'il y a une sensibilité aussi là-bas. On est présent aussi beaucoup en Belgique. Les ventes sont en constante hausse. Nous sommes présents également dans le domaine minier en Afrique de l'Ouest ou là, en fait, l'additif est utilisé pour des raisons techniques, parce que le produit génère des baisses de consommations et de Co2 mais a aussi un effet très positif intrinsèquement sur la mécanique elle-même. Dans ces pays là, c'est plus pour résoudre des désordres moteurs, c'est de la prévention. Souvent, on résout des problèmes de grippage de pompe et d'injecteurs produits très efficace parce qu'il est aussi très lubrifiant. 

Le Point : Et alors quelles sont vos perspectives prochaines ?

Lionel : Il devrait y avoir un développement sur la Turquie l'année prochaine, suite à des tests qui ont été réalisés par la compagnie Mobilize Groupe, qui a réalisé des tests sur des navires sur le Bosphore et aussi sur des bus dans la capitale où les tests ont été très concluants. 

Le Point : Merci beaucoup Lionel pour cet échange 

Lionel : Merci à vous aussi Agnès.